ASHTAR SHERAN
Channeling de
Stella
L'esprit de solidarité remplace le modèle patriarcal
par Ashtar Sheran (7 Novembre 2008)
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Un homme subissant encore l’influence de ces idées patriarcales est partagé entre la possibilité d’exprimer son cœur et sa vraie personnalité ou bien l’image patriarcale de l’homme invulnérable et dominateur. Ils
sont partagés entre ces deux comportements opposés parce que les
notions de vulnérabilité ou de force ont un pouvoir de séduction
égal vis-à-vis de la femme. Les comportements machistes sont aussi influencés par la crainte face aux autres hommes qui entretiennent la loi du plus fort et il y a certaines femmes qui ont aussi un comportement dominateur pour exprimer cette pseudo-force. La
véritable force autorise la vulnérabilité. Nous
parlons ici de la force qui n’a pas besoin de dominer autrui pour
se sentir valorisé c'est-à-dire renoncer à dévaloriser l’autre pour
se valoriser soi-même. Mais au contraire se montrer bienveillant face aux faiblesses d’autrui (ou de soi-même) et solidaire. La
force de la bonne volonté est la force de l’amour et du cœur. L’égalité
entre l’homme et la femme ne doit pas conduire au chacun pour soi,
ni à l’individualisme. La
situation pourrait s’inverser de nos jours et une femme pourrait
prendre en charge un homme suite à un problème. Le but est de ne plus prendre la faiblesse pour cible dans le but de dominer l’autre. Mais s’il y en a un des deux qui tombe, il doit avoir le respect de ne pas entraîner l’autre dans sa chute, c'est-à-dire qu’il doit utiliser toute sa bonne volonté pour redresser la tête sinon la solidarité n’aurait pas d’effet dans cette relation. La
solidarité mutuelle se trouve dans les gestes du quotidien afin
de veiller l’un sur l’autre et se donner tout l’amour dont on a
besoin. Considérons alors pour conclure que l’acte de dominer les autres est une faiblesse et non pas une force donc ces idées archaïques qui viennent du patriarcat ont aussi besoin d’amour et de pardon mais avant tout cet ancien modèle patriarcal doit reconnaître son besoin d’amour c'est-à-dire sa propre vulnérabilité. Ashtar Sheran
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